Rencontre avec...

... le Clint Eastwood des Tours de Flandres!

Comments

[JC]

Oui, le quartier est un peu space; et quand il s'agit de passer au travers d'une bande qui coince les étroites allées du jardin, il faut parfois serrer les fesses. Mais comme dit une copine plus haut, pas sûr, qu'on aimerait en changer de quartier. La dernière fois avec Siris on avait assisté à une petite fête musicale bien sympa... il connaît. Mais de là à faire l'oiseau de nuit... pour ça je t'attend!!

[line]

Allo JC, j'aime beaucoup cette b.d., on visite avec toi ce coin sombre des tours de Flandre où je ne suis jamais allée. Tu nous y emmèneras un jour, j'espère, reconduire tes beaux enfants à la crèche. Je ne passerais pas là la nuit...toi, j'imagine avec ton courage Herculéen, tu dois y passer parfois lorsque les oiseaux font dodos.

LIne en vacance

[JC]

Ah oui, notre agent d'entretient qui ramasse toujours en grognant toutes ces cochonneries (que tu décris ci dessus) qui tombent des tours; elle mériterait à elle seule une BD entière!! Mais mes horaires ne me font plus passer par là le matin...

[sophie]

J'adore tes croquis sur le quartier. c'est tellement ça : ces petites familles qui vivent ici qui sont attachées à ce quartier comme toi et moi nous le sommes : à sa diversité, à son esprit "vraie vie", à ses artères. C'est bizarre parce que le jour on l'on partira, s'il vient, les tours de Flandres ça restera une madeleine de Proust : la piscine, les jeux, notre si sympatique agent d'entretien de la ville de Paris, le labrador. Et aussi les 2 roues, les trafics, la saleté et les arbres à slips...

[JC]

C'est étrange comme dans une ville, il doit toujours y avoir des angles morts. là se déroule toute la misère du monde... ici, on ne peut pas parler de ghettos, mais ça y ressemble parfois. Même si à 100 mètres de là, il y a les librairies, le canal avec ces cafés branchouille, ces cinoches, et le "104"...

Oui, c'est bien elle la boulangerie. Mais on n'évite de prendre notre pain là...